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Depuis un certain temps, votre moral est au plus bas ? Vous manquez d’énergie ? Vous vous dites que vous êtes peut-être concerné par une souffrance liée à votre travail. Toutefois, comment en être sûr ? À quoi correspond le mal-être au travail ? Comment en identifie-t-on les causes et les signes ? Quelles sont les possibilités pour remédier à cette souffrance ?
Il est certain que vous ne devez pas rester dans le déni. Les impacts sur votre vie professionnelle et privée pourraient être néfastes ainsi que sur votre santé. Soyez réactif !
Dans cet article, nous vous expliquons comment diagnostiquer la souffrance au travail et quels sont les moyens alternatifs pour retrouver votre bien-être.
La souffrance au travail fait référence à la souffrance mentale. Cette dernière est considérée comme un mal-être ou une détresse psychologique. La détérioration de la santé mentale des salariés est souvent liée aux nouvelles formes d’organisation du travail au sein des entreprises. La souffrance au travail n’est pas considérée comme une maladie. Seules, certaines conséquences comme la dépression le sont. Depuis quelques années, 3 types de souffrance au travail sont mis en avant.
Pour remédier à votre souffrance au travail, la mise en place d’un plan d’action en 4 étapes est requise.
Ce processus peut s’avérer complexe. Soyez toujours bienveillant avec vous ! Sachez que la souffrance au travail concerne la plupart du temps des personnes très impliquées.
Pendant la durée de cette démarche, si vous en ressentez le besoin, vous pouvez prendre un peu de distance avec votre environnement professionnel et plus précisément, vos collègues.
Pour être sûr que la souffrance que vous ressentez est liée à votre travail, il est nécessaire que vous preniez le temps d’en identifier les causes. Pour cette étape, vous devez être attentif à vos émotions et à votre corps. Posez-vous les bonnes questions. Dressez également une liste de chaque situation que vous vivez au quotidien qui peut être la cause de votre mal-être au travail.
Les causes d’une souffrance au travail sont multiples et différentes selon les salariés.
La cause de votre mal-être peut être liée à votre métier en lui-même. En effet, certaines activités requièrent un contact avec un public difficile, ce qui peut provoquer un stress important. En fonction de la cause, la solution sera différente.
Les conséquences de votre mal-être s’expriment à travers votre corps et votre psychique. Ils vous lancent des alertes. Si vous ne faites pas attention à ces symptômes et que vous vous maintenez dans une position de déni, les risques pour votre santé sont nombreux. Pour prendre conscience de ces signes, passez au scanner votre corps et votre tête !
Pour que cette analyse soit objective, vous pouvez vous munir d’un carnet et y mentionner tous les effets que votre travail provoque sur vous et vos relations. Il vous sera possible de déterminer, avec plus ou moins de précision, à quel moment cette situation a débuté. Pour aller jusqu’au bout de la démarche, vous avez la possibilité d’interroger votre entourage.
Pour que vous soyez épanoui dans votre travail, 3 éléments sont indispensables.
Si pour une cause quelconque, votre implication, votre engagement et votre motivation sont au plus bas, soyez vigilant ! Cela fait partie des symptômes d’un mal-être au travail qui s’installe.
Vous vous trouvez peut-être dans une situation d’addiction au travail nommée workaholisme. Pour en avoir la certitude, répondez à quelques questions.
Passez-vous beaucoup de temps au travail à cause de la pression qui règne au sein de votre entreprise ? Utilisez-vous de manière excessive vos outils numériques ? Délaissez-vous votre famille et vos proches ?
Pour autant, cette implication excessive au travail n’est pas synonyme d’efficacité et de productivité. Malgré tout, plusieurs risques pour votre santé existent.
Le stress intense est considéré comme un mauvais stress, car il devient souvent chronique. Il s’explique par un fort déséquilibre entre votre charge de travail et vos ressources pour y répondre. Les conséquences sur votre santé peuvent être très graves :
Cette liste n’est pas exhaustive. Si vous ressentez certains de ces symptômes, si vous avez la boule au ventre à l’idée d’aller au travail, agissez au plus vite ! Dans le cas contraire, votre vie personnelle pourrait en pâtir.
Vous pouvez commencer par en parler avec un proche, un ami ou un collègue de confiance afin d’avoir une vision objective. Toutefois, si vous vous sentez fragile, il est plus prudent de consulter votre médecin traitant. Vous avez, également, le droit de solliciter le médecin du travail. Un thérapeute peut être une aide précieuse pour prendre du recul. Rencontrer ces professionnels présente un réel bénéfice. Vous pouvez prendre conscience de votre mal-être au travail.
C’est l’opportunité de réfléchir aux moyens à mettre en place pour remédier à cette souffrance. Vous devez percevoir cette action comme positive. En effet, cela renvoie l’image d’une personne qui sait exprimer ses limites et qui prend soin de son corps.
Pour remédier à votre souffrance au travail, il existe diverses solutions. À vous de déterminer celle qui est nécessaire pour que vous puissiez retrouver votre sérénité.
Dans le cadre de la prévention contre les risques psychosociaux, votre employeur doit être à votre écoute. Sollicitez-le pour trouver une solution ensemble. Votre mal-être au travail est peut-être dû à l’ennui, à un manque de challenge. Vous avez fait le tour de votre emploi et vous avez besoin de nouveauté.
Pour remédier à cette souffrance, votre employeur peut vous proposer un aménagement de poste ou un changement de poste. Les propositions peuvent être diverses comme devenir le mentor des nouveaux arrivants, intervenir sur des projets transversaux ou accroître vos responsabilités.
Il est possible que votre mal-être au travail provienne de votre métier qui ne vous convient plus. Dans ce cas, la reconversion professionnelle semble être la solution la plus pertinente. Vous pouvez commencer par effectuer un bilan de compétences afin de mieux vous connaître et de déterminer vos objectifs futurs. Il faut que vous gardiez en tête que le but de cette reconversion, à savoir trouver un métier en accord avec vos valeurs.
Une fois le nouveau métier identifié, vous devrez mettre en place un plan de formation pour acquérir les compétences nécessaires. Nous vous conseillons de vous faire accompagner par un organisme professionnel pour la mise en place de cette reconversion.
Si les solutions proposées ne vous permettent pas de retrouver votre bien-être, il est préférable d’envisager un changement d’entreprise. Pour cela, vous avez plusieurs possibilités.
Si votre mal-être est dû à un harcèlement, demandez des conseils à un avocat. Les représentants du personnel peuvent, également, vous apporter leur aide.
Avant de prendre votre décision définitive, prenez le temps de déterminer vos valeurs et vos attentes par rapport à votre futur emploi. Dans le cas contraire, vous prenez le risque de vous retrouver dans une situation similaire. Pour remédier totalement à votre souffrance, vous devez être aligné sur vos valeurs.
Vous avez envie d’étudier la possibilité d’une reconversion professionnelle pour lutter contre votre mal-être au travail ? Contactez-nous. Notre cabinet ABACUS est le partenaire idéal pour vous accompagner.
Tandis que nous venons de voir au sein de cet article les différentes conséquences du mal-être au travail, à savoir la diminution de votre engagement dans votre travail ou bien encore le stress que ce dernier vous procure, mais également les remèdes pour lutter comme par exemple une possible reconversion, nous allons vous soumettre une autre alternative des plus pertinentes ; avoir recours à un séjour bien-être. En effet si vous semblez intéressé et dans le besoin de faire évacuer ce mal-être au travail, profiter d’un séjour bien-être va se présenter comme une occasion de reprendre le cours de votre vie.
Durant ces séjours, de nombreuses activités vont vous être proposées pour guérir contre ces symptômes. Tout d’abord vous allez pouvoir réaliser des séances de méditation pour relaxer votre corps. De plus vous allez également vous exercer sur le travail de la respiration par exemple. Ces séjours peuvent durer tout un week-end afin que vous preniez une bouffée d’oxygène. Toutefois il est à noter que ces séjours bien-être s’adressent uniquement à la gente féminine, et qu’ils sont encadrés seulement par des femmes.
L’entretien annuel d’évaluation est un moment crucial permettant à un collaborateur et à son supérieur hiérarchique de réaliser une mise au point. Il consiste notamment à réaliser un bilan d’évaluation complet du salarié et de parler de ses résultats ainsi que de ses axes d’amélioration.
De nombreuses entreprises sont aujourd’hui soumises à un très haut degré de compétitivité. Pour garder la tête froide et sortir leur épingle du jeu, il leur est impératif de se mettre au diapason de toutes éventualités. L’une des approches employées pour parvenir à cette fin est l’usage du management de transition. Bien qu’étant une pratique récente, elle commence petit à petit à se faire connaître dans le monde. La suite de cet article vous apportera plus d’éclaircissements.
Les guides conseils ABACUS pour réussir votre reconversion ou évolution professionnelle
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17 réponses
Bonjour,tout ce que je viens de lire est véridique ,je suis dans cette situation depuis plus d un an .Je suis suivie par un Psycologue et je suis en mis temps médical
Bonjour,
Merci pour votre commentaire ! Nous sommes de tout coeur avec vous pour que vous retrouviez du sens et de la confiance en vous et en votre activité.
Bien à vous,
Kévin
Bonjour,
Votre article est très intéressant mais comment amener ds une lettre de motivation qu’on souhaite changer de poste alors que cela fait à peine qqs mois qu’on est ds le service ? Personne n est dupe ds ce cas tout le monde va comprendre que ça ne va pas
Bonjour Vanessa,
Merci pour le compliment !
Le fait de vouloir changer de poste n’est pas une faute. Au contraire, le fait de la manifester dans les règles à travers une lettre de motivation peut plaider en votre faveur. Selon la façon avec laquelle vous amenez votre propos, votre employeur actuel sera certainement conciliant et pourra même vous aider dans votre projet. Bien sûr, il est possible que cela ne soit pas le cas. Auquel cas, il faudra veiller à être bien entourée et à connaître vos droits. N’hésitez pas à revenir vers nous quand vous aurez avancé dans vos démarches.
Bien à vous,
Kévin
Bonjour, installée depuis presque 2 ans sur Montpellier, j’ai négocié mon contrat dans mon entreprise actuelle pour un poste bien précis.
Après 6 mois , un changement de direction avec des nouvelles conditions de travail m’ont presque amenés à un burn-out voir une dépression. Après un entretien avec la direction, à ma demande, qui n’a rien donné de positif, bien au contraire, je me suis mise en arrêt maladie pendant 10 jours, arrêt destiné pour ma part à reprendre pied. A mon retour, je me suis vu évincée de mon poste pour un autre poste contre ma volonté.
Depuis rien ne va plus , mon mal être s’amplifie .
Je déteste mon nouveau poste et ne sais comment faire pour en partir. J’ai 56 ans, ne peux me permettre de perdre mon emploi , démissionner est impensable et pourtant j’ai envisagé toutes sortes de solutions dont l’abandon de poste.
Il faut savoir que mon entreprise ne fait ni rupture conventionnelle et ne licencie pas .
Elle pousse à bout pour que l’employé démissionne… aucun dialogue n’est possible….
Je me sens prise au piège, seule, désemparée plus envie de rien ….
Comment faire pour sortir de cet environnement toxique et déprimant pour moi sans trop de dommages collatéraux….?
Quelqu’un a t’il déjà vécu ce genre de situation ? En est il sorti et si oui de quelle manière ?
Toutes idées ou conseils seront les bienvenus
Merci d’avance
Merci
Bonjour je suis dans une situation comme vous très difficile. J ai perdu mon papa cela va faire bientôt 3 mois et je suis au plus mal déjà plychologiquement suite à cette perte. J ai donc été arrêtée 15 jours pendant la phase terminale de mon papa et son décès… Suite à cet arrêt, je suis retournée travailler pensant que cela serait bon pour éviter de penser. Sauf que ma supérieure depuis me « punit », je passe après tout le monde pour pouvoir un rtt et un congés, cela m est souvent refusé mais accepté pour des collègues demandant le même jour une semaine après moi, de plus je suis totalement mise à l écart comme ci je n existais plus et j ai très vite compris que mes collegues avaient été invités à en faire de même… Ce qui signifie que l on m isole et que je m isole de ce fait encore plus et que je ne m alimente même plus le midi pour ne pas aller dans la salle déjeuner avec les autres. J ai donc fait une demande de rupture qui m à bien évidemment été refusée. Je ne vois plus aucune issue, je suis dans un état total de détresse et j ai beaucoup d idées noires et ne fais que pleurer. J ai besoin actuellement de pouvoir faire mon deuil dans un environnement calme et bienveillant ce qui n est pas le cas. Si quelqu’un sait comment je peux sortir de cet enfer, j accepte volontiers tous conseils. Merci. Hélène
bonjour je suis exactement dans votre situation tout c est bien passé pendant 15 ans j adore mon metier mais un changement de patron a fais basculer ma vie je ressens exactement la meme chose que vous la je vais tenter un dernier recours conseillé par une personne des prud hommes !prendre rdz vs a la medecine du travail et prouver que j ai un mal etre du a cette entreprise apres malheureusement je ne verrais plus que la demission j espere que ca vous aidera courage a vous vraiment et battez vous pour rester debout
Bonjour,
Cela fit 14 ans que je travaille avec les enfants (école maternelle ), six ans que je demande des nouveaux postes et toujours rien. je n’ai plus la patience de travailler et j’ai développé de l’acouphène
Je travaille dans une mairie et la seule chose que l’on me propose c’est une dispo. Il y avait une possibilité de me mettre à mi-temps à la médiathèque mais la vacataire qui y travaille actuellement ne veut pas travailler avec les enfants. donc on me laisse à mon poste
J’ai commencé un stage de reconversion professionnelle.. J’aimerai retrouver un poste d’agent administratif, mais mes 14 ans en qualité d’ATSEM nuisent énormément à mon envie.
Bonjour Sylvie,
Merci pour votre commentaire et navré pour votre situation…
Avez-vous songé à faire un bilan de compétences ? Celui-ci pourrait vous permettre de trouver une nouvelle piste d’emploi (public ou privé) et de voir dans quelles mesures vous pourriez transférer vos compétences et développer une envie particulière.
Vous pouvez toujours échanger avec un de nos conseillers en remplissant le formulaire sur notre page dédiée au bilan : https://abacus-rh.com/bilan-competences/.
Le financement de votre bilan pourrait être entièrement assumé par votre administration qui plus est !
Je reste à votre disposition.
Bien à vous,
Kévin
bonjour, je suis de la Polynésie française, je suis agent de tri et navetteur depuis 17 ans. le 30/09/2020 j’ai eu un accident de travail du au fait que je porte des charges lourdes à répétition tous les jours, plus la distribution que je dois effectué dans toute l’île.
Cependant je domicile à la presqu’île ce qui m’oblige a quitter la maison à trois heures du matin pour éviter d’être confronter aux « bouchons » sachant que je commence à 07h30 à l’autre bout de l’ile. Je fais 57 kilomètres tous les jours allé et retour ce qui me fais un total de 114 kilomètres par jours plus la distribution que je fais dans toutes l’île. j’ai été amené à une mise a disposition justement à deux pas de mon domicile depuis le mois de mars 2021. Mes soucis de santé se sont apaisé et mon mal être au travail également. à ce jour notre responsable hiérarchique veut me ramener à mon agence d’affectation.
quel courrier dois je rédiger pour expliquer ma situation en vu de mes deux points négatifs mentionné dans mon commentaire? merci
Bonjour Victor,
Merci pour votre commentaire et navré pour votre situation.
Je pense que vous devriez vous adresser directement à votre responsable hiérarchique en lui expliquant la situation : votre santé se porte mieux depuis l’aménagement de votre poste, et vous savez d’avance qu’une reprise au sein de votre agence d’affectation va générer le même mal-être. Jouez la carte de la franchise, et expliquez que vous êtes prêt à faire un minimum de compromis tant que votre santé mentale et physique est présersée.
Si jamais vous n’obtenez gain de cause, visez plus haut ! L’admnistration dont vous dépendez directement, par exemple.
En espérant que vous obteniez gain de cause.
Bien à vous,
Kévin
Bonsoir merci pour pour c’est article, je suis dans une situation handicap au travail, je travaille à l’hôpital, mais depuis 4 ans je suis en attente d’un reclassement sur un poste administratif, je suis à la base agent de service hospitalier, dernièrement on m’a mis en poste sur le standard de l’hôpital, et je suis en souffrance sur mon poste, on me demande d’écrire une lettre pour expliquer ma détresse. On me dit de patienter que cela va aller mieux. On me propose aucun autre poste. Je ne sais pas quoi faire. J’aimerais avoir un avis sur ma situation actuelle merci
Bonjour,
Navré pour votre situation… Avez-vous pensé à en parler à un représentant du personnel ? Votre situation pourrait être appuyée lors d’une commission (CHSCT, ou autres).
Bien à vous,
Kévin
Bonjour à Vous,
Je vous remercie pour votre publication sur ce problème que je traverses depuis 4 ans maintenant. En passant par un stress accru jusqu’à ce qu’un médecin psychiatre me diagnostique une dépression l’an passé. Depuis je suis sous antidépresseur. Mon mal être est dû au fait que je suis à un poste auquel je n’ai pas les compétences de surcroît un poste de responsabilité. Je ne me sens pas capable de tenir ce poste. Donc, je vis constamment dans le stress et l’anxiété. Je n’ai plus la force de continuer. Que faire s’il vous plaît ?? Pouvez-vous me répondre sur mon e-mail ?
Bonjour Aichata,
C’est fait, je vous ai écrit par mail directement.
Bon courage et à votre disposition.
Bien à vous,
Kévin
Bonjour,
En poste depuis maintenant 1 an, je suis confronté a un environnement néfaste.
En effet, la direction de mon entreprise fait la sourde oreille au vue des conditions de travails ( 3 employé dans des bureau fait pour 2 maximum, aucune reconnaissance des tâches, beaucoup trop de travail pour notre équipe mais la direction refuse de recruter dans celle ci et préfère recruter dans d’autres services et j’en passe ).
Suite à cela, ma compagne me signale que l’apparition de cheveux blancs a repris ( à 25 ans ), je dors mal, perte de motivation, une anxiété chronique est probablement en train d’apparaitre car sans raison, je suis pris de stress à mon domicile alors que je ne fais rien de spécial ( être sur le PC par exemple ) etc…
J’hésite fortement a consulter car j’ai peur que cela soit vu comme un acte de flegme ou que je passe pour le Calimero de service.
Si le courage de consulter me vient, savez vous vers qui es ce que je pourrais me tourner et qui comprendrais la situation?
Je vois que l’on me conseille mon médecin traitant, mais je ne suis pas sûr qu’il comprenne la situation.
J’aimerais avoir votre avis sur tous ça, merci 🙂
Bonjour Dorian,
En effet, vous ne devez pas rester dans cette situation ! Le médecin traitant est une option, mais bien sûr, ce sont des cas singuliers en fonction de votre rapport avec lui ou elle.
Vous pouvez également consulter la médecine du travail, sans demander d’accord préalable à la direction. Leur avis est indépendant de votre entreprise.
Si jamais la situation n’est pas conforme aux normes de sécurité et de bien-être des salariés, une consultation de l’inspection du travail peut parfois être de mise…
En tous les cas, ne vous laissez pas faire, et si le dialogue avec l’employeur est rompu, les consultations externes sont plus que requises.
Bon courage pour les démarches, et prenez soin de vous.
Bien à vous,
Kévin